Romain Karls

« Romain Karls »
Feat. Kevin Flamme

Âge :
22 ans.

Date & Lieu de naissance :
Los Angeles ; 23 ; Novembre ; 1986.

Nationalité :
Américain

Groupe :
Play With Me Girl's // Paresse

Métier / Etude :
Serveur.

Prédéfini ou Inventé :
Prédéfini

I know you want me :
Romain Karls Th_8

« WHO I AM ? »

■ Physiquement ; je suis ;

■ Il paraît que j'ai un fort caractère ;

Espérez vous réellement que je vous offre son caractère sur un plateau d’argent ? Un peu de Caviar tant qu’a y être ?! Bon d’accord j’y vais peut-être un peu fort. Je vais faire mon possible donc pour que vous puissiez connaitre le caractère de ce jeune homme connu sous le nom de Romain. Tout d’abord, veuillez prendre note que Romain n’est pas une personne facilement influençable. Bien que sympathique, le jeune homme démontre souvent de la froideur envers ceux et celles qu’il ne connait pas. Non pas qu’il n’apprécie pas la présence des autres, c’est même bien loin de la, mais c’est seulement qu’il a de la difficulté à envisager de n’être que pour certaines personnes qu’un homme a qui on peu se confier. Vous avez bien compris, Romain est du genre à écouter plus qu’a parler. C’est naturel chez lui, quelque chose qui ne lui déplait pas mais qui en même temps le dérange. Non pas qu’il finit par se lasser des confidences, ce n’est surtout pas sa, mais c’est plutôt qu’il aimerait parfois pouvoir s’occuper de ses propres problèmes. Son infidélité peut-être. Généreux de sa personne, il démontre également de la patience et de l’humour. Simple à comprendre en temps normal, Romain peut cependant rapidement devenir râleur sur des sujets stupides. Pourtant, se coquin petit jeune homme sait que son caractère pourrait le mener rapidement au bord du précipice.

■ Je vais vous raconter mon histoire ;

■ Je suis différents des autres, je suis unique ;

Qu’est ce qui peut différencier Romain d’une autre personne ? Je pourrais certainement vous dire son physique et sa façon d’agir, mais je ne vais pas jouer les rabat-joie. Il y a deux petites choses qui rendent le jeune homme unique. Tout d’abord, il possède un tattoo sur le pectoral droit qui laisse voir un Signe étrange. Un cercle unique avec a l’intérieur une étoile non pas a cinq mais bien a six branches. La deuxième chose, est sa façon unique de fixé quelqu’un discrètement. Son regard a la fois présent et dans le vague.

■ Il y a des choses qui ne se révèlent pas ;

Sa mère lui manque énormément, il a fait des recherches et a mis la main dessus, mais elle a fuit, avant qu’il n’ait de contact avec elle. Sa fierté, l’empêche de pouvoir en parler, pour vider son sac. Comment admettre que sa mère refuse de le voir. Il est persuadé de ne pas mériter son amour et il en souffre bien plus qu’il ne le laisse voir.

■ Chacun ses goûts, c'est les miens ;

Des goûts ? Romain en a plusieurs. Mais il ne les laisse que rarement transparaitre, en tout cas en matière de filles. Mais si l’on parle de ses autres goûts en général, Romain peut facilement être considéré comme un être humain tout ce qu’il y a de plus normal. Aimant les promenades sur la plage alors que la lune est a son zénith, le jeune homme trouve particulièrement plaisant de pouvoir ainsi vivre en proximité de la nature. Détestant la cuisine japonaise pour mourir, il mange cependant avec facilité les repas de nouilles chinoises. Chacun ses goûts comme on dit. Adorant le vietnamien de même que les repas de buffet, Romain démontre des goûts musicaux simples. Écoutant de tout, même du classique, il n’y a qu’une seule chose qu’il garde en horreur, le country.

« IN REALITY »

Prénom :
Joanie.

Âge :
17 ans.

Comment as-tu connu ce forum ? :
J'ai connu le forum grâce à ma chère amie chérie que j'adore ... Sophiane

Ton avis :
Je ne suis pas encore suffisamment habituée au forum pour pouvoir donnée un avis claire sur mes pensées.

Présence sur le forum :
Normalement tous les jours, mais je ne suis pas encore un robot =D.

Autre(s) compte(s) :
Pas de double compte ... trop de complications inutiles =D

Exemple de RP :

Spoiler:

Permet moi … de te faire sourire …
Car pour moi … c’est l’important …

I do not forget
That you will always be for me

Le silence qui régnait entre Talysman et le jeune Kei pouvait sembler dérangeante pour certain, mais pour l’étalon, c’était la meilleure manière de communiqué. Il était certain que se serait mieux s’il voulait bien le regarder dans les yeux, mais le cheval acceptait bien qu’il le respecte sur se point la. Car ne connaissant pas lui-même sa réaction si le regard métallique de Kei croisait le sien. Il ne voulait risquer de lui faire du mal. Il ne se le pardonnerait jamais si cela arrivait. Mais pour le moment, l’important était que l’animal respecte l’humain et que ce dernier fasse de même. Ce jeune asiatique avait la manière d’agir en présence de Talysman et c’était ce qui lui avait plut immédiatement chez lui. Il savait s’arrêter alors que plusieurs personnes ne pensait qu’a eut même ou encore a leurs petits plaisir personnel. L’étalon n’avait jamais aimé rencontrer des humains avec cet état d’esprit égoïstes. C’était un douloureux instant autant pour l’animal que pour l’homme, car alors le caractère de l’étalon devenait insupportable et particulièrement dangereux. Ses mouvements perdaient de leurs beautés et de leurs grâces pour se retrouver sec et froid comme la glace. Talysman avait presque tué l’un des palefreniers lors de sont arrivé au ranch une semaine plus tôt. Cela avait été la principale raison de son isolement d’ailleurs. Mais pour le moment, ce qu’il avait vécu dans la semaine qui s’était terminer n’avait plus aucune importance car le jeune homme était la, avec lui. Il se sentait tellement en confiance avec cet humain la et pourtant il ne pouvait savoir si il pouvait réellement se le permettre. Il savait cependant que si la vie de l’humain se retrouvait en danger, il ferait tout pour lui sauver la vie, même si il devait mettre en péril la sienne. Il lui arrivait souvent de pensé plus aux autres avant de pensé a lui et cela lui avait souvent attiré des ennuis qui l’avait fait souffrir, mais il continuait encore. Ne pouvant endurer de voir un visage triste ou déçu. Donc lorsque le jeune homme avait commencé à s’avancer vers la carrière, l’étalon l’avait laissez venir car il l’y avait lui-même invité. Cependant, il n’en fut plus complètement certain lorsqu’Il vit la main du jeune homme se posé sur le verrou de la porte de la carrière. Il avait-il un simple risque s’il le laissait venir ? Talysman ne croyait pas, mais si quelque chose arrivait ? Il y repenserait plus tard. Car il était trop tard. La serrure avait été défaite et la porte s’ouvrit lentement. Le corps du jeune homme se faufila et encore une fois, l’on put entendre le bruit de la porte mal huilé.

L’étalon avait reculé de quelques pas pour se permettre de s’habitué a leur nouvelle proximité, au fait que le jeune homme n’avait plus aucune protection si jamais il arrivait quelque chose. Talysman pour sa part ne voulait pas trop brusquer les choses. Il était déjà assez difficiles pour lui de combattre la peur qui envahissait chaque partie de son corps peu à peu. Mais bientôt, la curiosité légendaire de l’animal refit lentement surface, le faisant avancer, lentement, avec hésitation, mais il avançait. La distance entre eux diminuait rapidement. Bientôt, le corps du jeune homme se retrouva devant celui de l’étalon. Les naseaux de l’étalon se trouvaient juste au dessus de la chevelure blonde du jeune homme. Une couleur assez impressionnante que l’étalon n’avait pas eut si souvent la chance d’observer. Toujours aussi curieusement, l’animal entreprit une observation du cuir chevelu de l’humain. Reniflant quelques une de ses nombreuses mèches blondes. Mais il n’allait pas s’arrêter la, oh que non. L’étalon abaissa ensuite doucement son encolure pour pouvoir renifler ce que les humains appelaient communément des vêtements. Sont long toupets toucha légèrement le nez de l’humain ce qui le fit sourire, mais pour le moment, l’étalon avait mieux à faire, il devait renifler et apprendre. Lorsque l’odeur du jeune homme lui fut bien entrée en mémoire, il prit alors en initiative de savoir ce qu’était le grand bout de tissu gris qui sortait d’un peu partout sur les pantalons du jeune homme. Il commença par en reniflé une silencieusement, mais comme aucune odeur n’était perceptible, il décida de risqué de le mettre dans sa bouche, ce qu’il fit, évidemment. Mordillant quelque peu la chaîne, il la relâcha bientôt pour allé renifler autre chose. Il était dans une position assez dangereuse, car il n’y avait aucune protection sur son coup, alors la moindre pression bien placé pouvait suffire a le tué. Donnant à présent son attention aux nombreux petits clous qui sortaient des vêtements, l’étalon remarqua, que comme les longs bouts de tissus, les petites pyramides ne dégageaient aucune odeur normale.

Hésitant cependant un peu plus qu’avec les chaines, l’étalon lécha quelques peu les petits bouts de métal froid. Le même petit goût vint déranger ses papilles gustatives. Faisant une sorte de grimace, l’étalon cherchait seulement à faire disparaitre cet atroce petit goût. Talysman entendit alors un petit bruit. Il dressa les oreilles pour observer le visage du jeune homme. C’était lui qui faisait se petit bruit ? L’étalon souffla de l’air de ses naseaux alors qu’il rebaissa doucement et magnifique son encolure musclé pour allé renifler la main du jeune homme. Cette même main qu’il avait entreprit de relevé un peu plus tôt pour essayer d’établir un contact avec l’étalon qui a cet instant s’était retrouvé loin de lui. Mais en cet instant, l’étalon voulait réapprendre le plaisir de se faire caresser. Il voulait réapprendre tout ce qu’Il avait appris et connu lorsqu’il était jeune. Et dieu seul pouvait savoir ce qu’Il en avait appris des choses. Mais pour le moment ce n’était pas réellement ce qui lui importait le plus. Il voulait connaitre la douceur de la peau de son nouveau cavalier. Avait-il déjà monté à cheval ? Talysman ne pourrait le savoir que si un jour il allait faire une promenade. Mais cela c’était le futur. Il fallait leurs laissez le temps de s’apprivoisé, de se connaitre. Pour le moment, l’étalon reniflait la main du jeune homme. Mais bientôt, l’étalon y donna une légère poussé comme pour convaincre le jeune homme de le caressé. La voix de Kei le fit légèrement tressaillir, mais il n’eut aucune mauvaise réaction. Il était trop concentré pour avoir peur. Le regard sombre de l’étalon était posé sur la main du jeune homme. Lorsque ses doigts bougèrent, l’étalon fit bouger sa queue en signe de crainte, mais jamais il ne recula. Soufflant doucement de l’air par les naseaux, le jeune étalon put sentir la peau du jeune homme effleuré l’espace entre ses naseaux. Un frisson lui traversa le corps, mais encore une fois, l’étalon ignora sa peur. Puis, le contact de la fourrure de l’étalon contre la main du jeune homme fut complet. Taly’ ronfla doucement des naseaux alors qu’il sentait pour la première fois depuis longtemps une caresse si douce d’une main humaine. Lentement, les muscles tendus de l’étalon se détendirent, laissant place à la véritable nature de l’animal.

La main du jeune homme s’arrêta au niveau de sa joue, ce qui le fit frissonner doucement. Il aurait aimé que le jeune homme le caresse plus longtemps, mais il n’était pas pour l’y obliger non plus. Il se contentait très bien de ce que le jeune homme voulait lui offrir. Pour tout dire il était normal qu’il ne fasse pas tout immédiatement, ils venaient tout juste de se rencontrer ou presque. L’étalon remarqua que le jeune homme approchait son visage de son chanfrein. Il n’allait pas l’embrasser tout de même ? Il semblait que non, car lorsque le nez du jeune homme toucha la peau fine de l’étalon, il s’arrêta. La peau du jeune homme était froide comme la neige, mais Talysman aimait bien cette étrange sensation. Ils restèrent ainsi quelques instants. Ronflant doucement des naseaux, l’étalon y démontrait son bien être. Il n’allait en aucune occasion lui demander de reculer. Il se souvint que son ancienne maitresse lui faisait cela également parfois. Il le serrait également contre elle en passant ses bras autour de son puissant poitrail, mais pour le moment, l’étalon ne souhaitait pas laissez Kei prendre la place de sa si douce maitresse trop rapidement. Il avait encore des preuves à faire aux yeux de l’étalon noir. Lorsque le jeune homme recula la tête, Talysman redressa doucement l’encolure. Il était vrai que pour un cheval mesurant près de deux mètres, se tenir la tête mi basse devenait lassant. Le jeune homme cessa également de le caresser. Talysman ronfla des naseaux doucement puis il baissa l’encolure pour allé la frotter contre son membre inférieur droit qui avait commencé à le gratter. Lorsqu’il ne ressentit plus de picotement, il redressa la tête. Le soleil était presque complètement visible à présent depuis le ciel. L’étalon observa le visage du jeune Kei quelques instants sans pour autant chercher à croiser son regard acier. Un bruit pénétra alors dans les oreilles de l’étalon noir et il coucha automatiquement les oreilles. Se retournant à demi vers la porte, il le vit, le chien du ranch. Cette bête complètement folle qui ne cherchait qu’à faire du tort aux élèves et aux animaux.

Sans plus attendre, l’étalon fit quelques pas pour s’éloigné du jeune homme et sans plus attendre, il frappa violemment le sol du sabot. Poussant un hennissement furieux, Talysman se cabra à demi et il se laissa retomber. Le chien pour sa part laissa voir ses crocs lorsque l’étalon se montra agressif. Commençant alors ce qu’Il n’aurait certainement du jamais faire, grogner. La réaction de l’étalon fut immédiate. Il bondit en avant avec une puissante et une colère effrayante à observer. Ses sabots claquaient au sol avec fureur alors qu’il se dirigeait vers le chien. Ce dernier semblait avoir prévu sa réaction, car au dernier moment il bondit et il referma sa mâchoire, sur la cuisse de l’étalon. Il semblait même déterminer à ne plus lâcher prise.

Talysman sentit un pincement désagréable au niveau du postérieur et alors il donna plusieurs violents coups de cul pour essayer de se débarrasser de l’animal, mais ce dernier tenait bon. Reprenant un galop furieux, Taly’ se lança au sol sur le côté ou le chien le tenait. Un gémissement de douleur se fit entendre et alors le carnivore lâcha prise. Il se sauva de la carrière le plus rapidement possible alors que l’étalon se relevait et se lançait à sa poursuite. Il s’arrêta devant la barrière et il poussa un puissant hennissement remplit de haine et de colère. Lorsqu’il fut certain que le chien avait disparut, il tourna les yeux vers Kei et il fit oui de la tête, de grands mouvements de tête ponctuer de ronflements de naseaux et de léger hennissement. Puis, commençant a trotter, l’étalon panacha sa longue queue et il redressa la tête, fier de son coup. Il reprit alors un galop lent et il se dirigea vers le jeune homme. Toute sa grâce et sa beauté lui était revenu, ainsi que son calme. Il arriva près du jeune homme et pour l’inviter à jouer, il lui donna un petit coup d’épaule en passant près de lui. Il accéléra alors la cadence et il hennit joyeusement. Il regarda alors le jeune homme pour voir si il comprenait.

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